ALaure.net

Search

Après le repas, on se dirige vers en galerie d’art aborigène un peu particulière. Il s’agit de peintures rupestres et la galerie est faite de blocs de rochers peints dans une forêt. Il fait une chaleur terrible et la petite marche de 15 minutes est un supplice.

Pourtant les peintures sont étonnantes et très bien conservées. Certaines sont dures à interpréter puisque plusieurs couches sont peintes les unes sur les autres.

Après ça, l’annonce de l’étape suivante (une baignade) est très bien accueillie. Là encore il faut marcher — et suer des litres — mais le jeu en vaut la chandelle. On arrive en haut d’une cascade qui tombe dans un petit lac en bout de vallée. L’endroit est superbe. On va se baigner dans les bassins supérieurs — sans serpents ni crocs contrairement au petit lac, 20m plus bas…— Je retrouve là quelques membres de mon groupe précédent : Stuart , les danois et notre architecte allemande.

On nage dans une eau à environ 28 degrés, un délice après la chaleur de la journée. Je m’amuse comme une petite folle à grimper sur les rochers, sauter dans l’eau depuis des blocs à 3m et utiliser des conduits immergés. Des trous dans la roche qui ne se voient pas, mais font des tunnels sous-marins assez rigolos à traverser en apnée.

Plusieurs bassins se succèdent et communiquent par de petites cascades. Mais le niveau d’eau est bas et l faut parois escaladera la roche pour accéder au suivant. Les garçons se sont hissés à la force de leurs bras pour aller vers le bassin suivant. J’ai bien sûr voulu les suivre. La force de mes bras n’étant pas suffisante pour me hisser, j’ai essayé avec leur bras, pas mieux. Du coup, j’ai fait un détour mais j’y suis allée aussi. Non, mais ! 😉 Du coup, je peux profiter d’un massage des épaules sous la cascade : divin !

Pourtant tout a une fin, il faut rentrer pour aller monter le camp, faire le feu de la veillée et préparer le repas.

Quelque chose à  dire ?