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Archives pour la Catégorie 'Divagage'

Scanner des diapositives

Ecrit par ALaure / dimanche 16 juillet 2006

Voilà quelques temps que j’essaye de numériser mes photos argentiques : diapositives, négatifs ou tirages papier. Avoir une version numérique présente plusieurs intérêts comme la retouche d’image ou la sauvegarde. J’avais déjà scanné moi-même un certain nombre de photos avec un scanner d’ancienne génération (acheté en 2002-03). Quelques exemples ici. Le résultat est bon pour l’époque, mais sans plus. On voit bien que ce sont des photos scanées.

Ma deuxième expérience à été de faire scanner les diapositives d’une même série par une société privée. Sur le coup j’avais été satisfaite sachant que mes diapos avaient trois ans et qu’elles avaient été conservées correctement mais sans un soin extrême. Le résultat présentait des traces de poussières sur la plupart des images. Point un peu décevant : les fichiers ne faisaient qu’environ 1,7 mégapixel. Par contre, ça m’avait pris très peu de mon temps libre, même si le délai était plutôt long (3 à 4 semaines).

Troisième étape : acheter un scanner récent. Nous venons d’acquérir un Epson 4490 photo qui permet de scanner documents, revues, photos et surtout films et diapositives. La pub parle d’un système anti-poussière et d’un mode de restauration de couleurs pour les films. Nous avons testé. Voici mon résultat.

Points faibles :

  1. L’installation des logiciels sur Mac OS X Tiger est vraiment merdique (passez-moi l’expression). Il faut accepter 20 licences, redonner le mot de passe administrateur 15 fois et ça prend 3 plombes. Le tout sur une interface vraiment laide. Mais bon, ça marche.
  2. A première vue, les logiciels ne semblent marcher que sur la session d’où ils ont été installés. Quand on change de session sur l’ordinateur, il devient impossible de lancer le scanner pourtant apparemment inutilisé sur l’autre session. Après diagnostique : il s’avère qu’une application pour gérer les boutons d’accès rapide (impression, mail etc.) tourne en tâche de fond et bloque la ressource pour un autre utilisateur. Une fois désinstallé le petit logiciel en question qui ne nous sert pas, le scanner fonctionne sur les deux sessions. Mais on ne peut pas dire que ce soit pratique pour quelqu’un qui ne touche absolument rien en informatique (comme ma mère) ou qui n’a aucune envie de se plonger dans ce genre de problèmes à la c… (comme moi).
  3. L’outil de reconnaissance des documents découpe automatiquement les images posées sur la vitre selon un algorithme assez puissant. Pourtant dans certains cas (pour moi, environ un sur dix pour des dispositives), l’image est complètement rognée. Une solution de contournement consiste à refaire la numérisation autant de fois que nécessaire pour obtenir un format acceptable. Si vous avez du temps, n’hésitez pas à recommencer une diapo trop coupée, ça paye souvent.
  4. Le temps de numérisation est très variable selon les supports, mais il est assez long pour les diapositives. Comptez environ 2 minutes pour 4 diapos, en mode automatique. Par contre, les fichiers sont écrits en temps réel, ce qui permet de travailler une photo pendant que la suivante est numérisée.
  5. Il est possible de scanner 4 photos format 10×15 en même temps, mais la découpe automatique se fait souvent mal (groupées deux par deux, voire en un bloc, au lieu de quatre images séparées) et le temps de post-opération s’allonge considérablement pour redécouper les images obtenues. Pour éviter les soucis, je conseille donc de se limiter à 3 photos : le repérage des bords se fait alors très bien. Pour trois tirages papier à scanner, comptez une minute.
  6. Dernier inconvénient : le logiciel pour scanner se ferme dès que la numérisation est terminée. Il faut donc constamment le rouvrir. Par contre, un mode permet de lancer automatiquement la numérisation avec les derniers réglages utilisés au démarrage de l’application.

A priori, les problèmes liés à l’installation sont mineurs puisqu’il est rare de devoir installer plusieurs fois le scanner, surtout sur la même machine. Pour le reste, j’ai facilement trouvé des solutions de contournement. Passons donc aux bons côtés.
Points forts :

  1. Incontestablement la qualité du résultat ! J’obtiens une image de 8 mégapixel : aussi bien que mon appareil photo numérique. Cela permet un champ d’action assez intéressant : recadrage de photos ou impression par exemple (bien sûr, si on possède les négatifs en bon état, c’est sûrement encore mieux de faire un retirage à partir du film d’origine).
  2. Le rendu des couleurs est vraiment très naturel. Ca ressemble à une vraie photo numérique, pas (comme souvent) à une photo scannée et traitée avec un léger filtre sépia.
  3. Le mode « anti-poussières » qui fonctionne réellement bien. Attention parfois un peu trop… Comme le détail de cette serviette de bain qui disparaît.
  4. Trois modes d’utilisations très pratiques : automatique, manuel ou professionnel : il y en a pour tous les goûts. Le mode automatique est déjà très bien et il permet en plus de cocher/décocher les options de restauration des couleurs et de suppression des poussières. Il atteint ses limites pour des images peu contrastées qui sont alors prises pour du noir et blanc.
  5. Le faible encombrement de l’appareil comparativement à d’autres de la gamme.
  6. Les accessoires pour scanner des négatifs ou des diapos sont bien conçus : ils permettent de scanner avec précision sans endommager les pélicules. Attention toutefois, ils semblent assez fragiles.

Voici un comparatif pour la même diapositive de départ (Lake Wanaka, Nouvelle Zélande – octobre 2003). A gauche, la photo scannée par la société privée (1,7 mégapixel). A droite la mienne, scannée en mode « anti-poussière » et « restauration des couleurs » (8,5 mégapixel).

Violences conjugales et projet de loi

Ecrit par ALaure / mercredi 12 juillet 2006

J’ai entendu ce matin à la radio que cette année, les violences conjugales ne seront pas graciées le 14 juillet (voir l’article du Monde à ce sujet). Si la chose me surprend c’est surtout pour me demander dans quelles mesures elles l’étaient avant ?! Là où ça me choque vraiment c’est que les violences ne sont pas que morales ou psychologiques. En France, en 2006, tous les quatre jours une femme meure des violences de son mari. Des femmes en meurent… Tous le monde à entendu parler de le mort de Marie Trintignant. Ce genre de drame conjugaux se reproduit tous les quatre jours, pour des femmes beaucoup moins médiatiques dont on ne parle pas.

C’est certes beaucoup moins de morts que les décès sur les routes. Mais je trouve ça beaucoup plus odieux parce que si quelqu’un prend sa voiture, il sait qu’il prend un risque. Même quand on traverse la rue, on sait qu’une voiture peut potentiellement déboucher de nulle part et nous faucher. Quand un avion décolle il y a un risque qu’il ne se pose pas dans de bonnes conditions. Mais quand une femme se marie, où est le risque d’en mourir ?

Je trouve ça scandaleux parce que ça nous montre qu’en cinq millénaires nous n’avons rien appris. Que nous fermons encore trop souvent les yeux devant des actes de barbarie de certains. Quand un homme se défoule physiquement sur un être plus faible ou sous son emprise morale, et frappe, frappe, frappe en entraînant la mort, il se conduit de pire manière qu’un animal. Aucune espèce sur terre ne pratique de telles ignominies.

Pourtant, ces drames ne seront bientôt plus une fatalité. En effet, un projet de loi sur la prévention de la délinquance est en train de voir le jour. Un chapitre entier est consacré aux violences conjugales (voir l’article du Monde à ce sujet).

Le projet de loi sur la prévention de la délinquance, présenté il y a deux semaines en conseil des ministres, prévoit des sentences plus lourdes pour les auteurs de ces violences (…). Il dispense aussi le médecin du secret professionnel, celui-ci n’ayant plus besoin de l’accord de sa patiente pour dénoncer le conjoint qui la maltraite. Enfin, le nouvel arsenal prévoit de contraindre les auteurs de violences à quitter le domicile, plutôt que de voir la femme battue recueillie dans un foyer.

J’apprécie particulièrement le fait que ce soit l’homme violent qui soit contraint de quitter le domicile conjugal. Le fait que les femmes battues soient obligées d’avoir recours à des structures d’accueil est un double, voire triple traumatisme. C’était d’abord une manière maladroite de stigmatiser la femme (comme si elle avait commis une faute) et ensuite, c’est une coupure avec des repères déjà fragiles. je pense que c’est bien que les femmes puissent s’approprier à nouveau un lieu intime, vidé de son tortionnaire.

Le nouveau dispositif permettra aussi, il me semble de pouvoir poursuivre un homme violent même si la plainte a été retirée. En effet, trop souvent, des pressions sont exercées pour que les femmes battues retirent leurs plaintes. Cela ne servira plus à rein, une enquête sera quand même menée.

Il reste quand même des points d’ombres. Par exemple, pourra-t-on contraindre réellement un homme à ne pas réintégrer le domicile commun avant un certain délai? Quel sera ce délai ? Que fais un homme contraint de quitter le domicile conjugal ? Sera-t-il pris en charge par une structure spécialisé pour lui faire prendre conscience de ses actes ? Quelles conditions met-on à une réintégration ? Que se passe-t-il quand il revient ?

La société avance. Mais doucement…

Abonnement Géo

Ecrit par ALaure / jeudi 23 mars 2006

Géo
Je suis abonnée au magazine Géo depuis un an et je viens de me ré-abonner. Je suis très contente du magazine. Un peu moins de l’abonnement.

Ce mois-ci, sort le hors-série sur le Maroc. Grâce à mon statut d’ultra privilégiée, j’ai pré-commandé le hors-série et je l’achète (à peine) moins cher. Je scrute ma boîte aux lettres et… Rien ! Bizarre. Il est maintenant en kiosque et moi je ne l’ai toujours pas; Je mets mon assistant sur le coup et qu’apprenons nous ? La commande est passée en livraison le 15 mars. Délai de livraison 4 semaines. Bravo ! Bien joué Géo 😉

Hé bien non seulement nous ne partirons pas au Maroc en mai, la Turquie ayant plus retenu notre attention. Mais en plus, l’année prochaine, on s’abonnera au National Geographic au lieu de Géo. Notre collection sur l’étagère passera du vert au jaune. Ca va ensemble, c’est parfait 🙂

Affaire de lit

Ecrit par ALaure / vendredi 10 février 2006

J’ai cassé mon lit. C’est balot ! Et mon homme n’était même pas encore là ! Il a quand même su me rappeler que « c’est con, c’est celui-là qu’on devait garder ! ».

Premier acte ce week-end, en m’asseyant : sinistre craquement. Aïe, on dirait une latte qui pète. Sauf que mon lit n’a pas de lattes. Dommage. Ah ben non, c’est le pied. Ben on le remet et c’est reparti pour un tour 🙂

Deuxième acte, cette nuit, 1h du matin. En plein sommeil, nouveau craque à réveiller un mort et je me retrouve sur un plan incliné. Rendors-toi, il n’ira pas plus bas. Je crois que les voisins ont eu la peur de leur vie vu le remue-ménage qui s’en est suivi là haut 😉 Mais c’est comme les tremblements de terre, il faut essuyer les répliques. 2h du mat, rebelotte, le pied a dû glisser de dessous. Donc on pouvait aller plus bas. Je ne bouge toujours pas. Quand je dors, je dors !

Troisième acte, ce soir, minuit approche, je vais aller me coucher. Mais pourquoi il est incliné mon lit ?!? Ah ben oui, un canard à trois pattes, ça ne sert pas à grand chose. Soit je lui enlève tous les pieds, soit je bricole une cale. Conclusion, cette nuit, à défaut de dormir sur mes deux oreilles, je dors le sommier appuyé sur une boîte à chaussures. Avec un peu de chance la boîte va lacher et mes chaussures êtres bousillées. Mais là, je n’ai rien d’autre sous la main. Il y avait bien un carton de champagne, mais il ne faut pas pousser. Les voisins se remettront bien de leur nouvelle crise cardiaque ! J’espère juste qu’ils ne m’en voudront pas trop 😉

Rencontre

Ecrit par ALaure / vendredi 25 novembre 2005

Il y a quelque chose de magique dans les rencontres impromptues que l’on fait. Un jour dans un bus, à Sydney, il y a déjà longtemps, j’ai rencontré un ancien joueur des All Blacks. Un autre jour, dans un autre bus, à Paris, j’ai vu un anglais so british, un peu poète, très poli et vraiment soul. Le type racontait à toutes les dames autour de lui qu’il les aimait. Que toutes les femmes sont belles et que la France est un pays merveilleux où les femmes sont belles, le pain et le fromage extra et le vin… divin !

Aujourd’hui, dans le métro, c’est une jeune femme qui m’a intriguée. Elle ne paye pas de mine : la quarantaine, blonde, très peu maquillée, une veste noire un peu sport. Pas de parfum, mais une vague odeur de tabac dans l’haleine, les mains nerveuses.

Un homme est monté avec son chien, un énorme Saint Bernard muselé. Sur ordre de son maître, le chien se couche, mais sur les pieds de ma voisine. Le maître s’excuse et elle lui dit de n’en rien faire. Elle est au contraire très contente de la présence rassurante du chien, « au moins on ne m’agressera pas aujourd’hui », nous dit-elle. De là, elle s’est lancé dans un quasi monologue pour me raconter (à moi, parfaite inconnue) sa mésaventure de la veille, que je m’empresse de vous compter.

Dans le métro, hier, un jeune homme s’est placé en face d’elle. Elle, gênée par sa présence, finit par bouger. De là, elle sent une gêne dans son dos, où est son sac à main. Derrière, un autre jeune la regarde bizarrement. Elle lui demande quel est le problème et s’aperçoit qu’il a son portable dans les mains. Elle ne se démonte pas et sans trop réfléchir lui dit « Oh la ! C’est mon portable ça ! Tu me le rends vite fait ! »

Le pique-pocket fait mine de lever la main pour la frapper… et c’est le drame ! En moins de temps qu’il n’en faut pour le dactylographier, le mec se retrouve l’épaule déboîtée et la moitié du wagon morte de rire. Le prédateur est devenu victime et ma voisine lui dit : « La prochaine fois que tu lèves la main sur une jeune femme sans défense, ou que tu essayes de lui piquer son portable (avec forfait millenium, merde !) demande lui donc avant son niveau de karaté ! »

J’aime cette petite anecdote parce que le sexe est peut-être faible, mais le sang est chaud 😉 On oublie un peu trop souvent que blonde ne rime pas toujours avec « un bébé dans le micro-onde » et que les arts martiaux ne sont pas le seul apanage des hommes. Ce n’est pas pour rien que légalement, une licence de karaté équivaut à porter une arme blanche.

Pipeau ou gros coup de bol ?

Ecrit par ALaure / mardi 4 octobre 2005

Je ne sais pas vous, mais moi je n’ai eu aucun problème avec la grève. Non seulement j’ai eu mes bus pile poil comme il faut, mais en plus, ce n’était pas plus bondé que d’habitude. Mes collègues étaient tous là sans problème, qu’ils viennent de l’est, du sud ou du nord. Alors à moins d’un immense coup de bol qui se répercute 60 fois, je vois mal à qui on va faire croire que la grève a été très suivie. En tout cas, pas à moi.

Grève

Ecrit par ALaure / lundi 3 octobre 2005

Demain c’est jour de grève à Paris. Cela soulève pas mal de problèmes et ça entretient largement les conversations de bureau de la journée. Vais-je pouvoir venir ? Y aura-t’il vraiment un service minimum ? Est-ce que c’est vrai des boîtes de La Défense payent des primes aux conducteurs de la ligne A qui ne font pas grève ?

Pour moi c’est plutôt : « Je prends mes rollers au cas où il fasse beau ? » Parce que c’est bien connu : une grève qui n’emm&@$% pas un maximum de personnes… c’est pas une bonne grève 😉 Et même si les contrôleurs faisaient grèves en disant « métro gratuit aujourd’hui », ça me ferait une belle jambe : je vient juste de racheter mon ticket mensuel de carte orange. De toute façon, je voulais aller courir demain : ben je roulerai de Montrouge à Issy-les-Moulineaux, c’est pas la mort 🙂 Juste la côté de Malakoff à passer 🙁

Au fait, c’est quoi le motif de grève cette fois-ci ?

En panne

Ecrit par ALaure / dimanche 2 octobre 2005

Ca y est, mon vieil ami Canon EOS 1000F vient de me lacher. Lors du mariage de mon amie A., il n’en fait qu’à sa tête : pourquoi prendre au 1/125e quand je peux rester ouvert 30 secondes, pourquoi débobiner une pellicule neuve, si j’ai envie de la rembobiner et pourquoi prende une photo si je fais grève. Bref, coco à eu droit à un aller simple au service réparation de la Fnac. j’espère qu’il vont lui faire un bon petit nettoyage, plus un lavage de cerveau et qu’il sera comme neuf à son retour.

A ce propos, le service réparation à l’air pas mal. Le devis n’est payant que si on ne veut pas faire faire les réparations et qu’on veut récupérer son appareil, mais si on répare, ou qu’on ne reprend pas son appareil, c’est gratuit. Je crois donc que je vais y emmener mon Pentax Optio 330, qui lui aussi fait des siennes : il refuse littéralement de s’allumer, le salopiot ! L’objectif sors, mais il rentre avant la fin. inutilisable. Le même ennui que la dernière fois, mais maintenant l’appareil n’est plus sous garanti 🙁 Bravo la technologie moderne 🙁 Mais lui par contre, si le devis est trop cher, je leur laisse pour les pièces détachées. Sans remords.

Tout ceci fait bien sûr grandement réfléchir, puisque je pense à m’acheter un Canon numérique semi-professionnel. Pour le moment, j’hésitais beaucoup à cause du prix… 800 euros, c’est mon budget vacances, alors si ça part tout dans l’appareil, il manquera les paysages… c’est moyen ! J’ai eu l’occasion de manipuler le Canon réflex numérique EOS 350D… Ah la la ! Une merveille !!! Mais la merveille vaut son pesant de cacahuètes 🙁

Il y un autre facteur qui joue en la faveur du numérique, et c’est aussi le prix 😉 je suis restée assez fidèle à l’argentique et je fais développer entre 10 et 15 pellicules par an. Une pellicule (achat initial + développement + tirage CD) me coûte environ 25 euros… Faites le calcul : à ce rythme, j’aurai rentabilisé mon réflex numérique en moins de trois ans. Un dernier soucis subsiste : certains objectifs Canon ne sont pas compatibles avec l’EOS 350D. Pas de bol. Reste à savoir si les miens le seront ? Je vous tiens au courant 😉

Amazon.fr

Ecrit par ALaure / dimanche 2 octobre 2005

Amazon.fr vient de mettre à jour son site web. Une évolution majeure sur le site français, c’est le service « mes envies cadeaux ». Désormais, on peut voir la jacket de l’objet ajouté (c’est pas du luxe !), et on peut noter son degré d’envie. A l’approche de Noël, il était temps que ça change un peu.

Lire dans les pensées

Ecrit par ALaure / mardi 23 août 2005

J’ai vu ça chez Nicolas. A première vue c’est super impressionnant. Et puis (déformation professionnelle) on fait « View » et « Page source ». Ensuite on prend un papier et on écrit la formule mathématique. Et là on se dit que c’est nul d’être informaticien avec deux trois notions de maths. Ca casse le charme… Parce que c’est quand même vachement impresionnant au début 🙂