J’ai cassé mon lit. C’est balot ! Et mon homme n’était même pas encore là ! Il a quand même su me rappeler que « c’est con, c’est celui-là qu’on devait garder ! ».
Premier acte ce week-end, en m’asseyant : sinistre craquement. Aïe, on dirait une latte qui pète. Sauf que mon lit n’a pas de lattes. Dommage. Ah ben non, c’est le pied. Ben on le remet et c’est reparti pour un tour 🙂
Deuxième acte, cette nuit, 1h du matin. En plein sommeil, nouveau craque à réveiller un mort et je me retrouve sur un plan incliné. Rendors-toi, il n’ira pas plus bas. Je crois que les voisins ont eu la peur de leur vie vu le remue-ménage qui s’en est suivi là haut 😉 Mais c’est comme les tremblements de terre, il faut essuyer les répliques. 2h du mat, rebelotte, le pied a dû glisser de dessous. Donc on pouvait aller plus bas. Je ne bouge toujours pas. Quand je dors, je dors !
Troisième acte, ce soir, minuit approche, je vais aller me coucher. Mais pourquoi il est incliné mon lit ?!? Ah ben oui, un canard à trois pattes, ça ne sert pas à grand chose. Soit je lui enlève tous les pieds, soit je bricole une cale. Conclusion, cette nuit, à défaut de dormir sur mes deux oreilles, je dors le sommier appuyé sur une boîte à chaussures. Avec un peu de chance la boîte va lacher et mes chaussures êtres bousillées. Mais là, je n’ai rien d’autre sous la main. Il y avait bien un carton de champagne, mais il ne faut pas pousser. Les voisins se remettront bien de leur nouvelle crise cardiaque ! J’espère juste qu’ils ne m’en voudront pas trop 😉
Quelque chose à dire ?